Alors on danse sur les fronts de mer...Comme un défi lancé aux éléments !
Appareillons (2018)
Après les albums « d’OueST » et « Nos ombres » et sans avoir perdu le fil musical – compositions pour le théâtre et projets collaboratifs – Vincent revient en 2018 pour un troisième opus financé en partie par une campagne de crowdfunding .
Après 3 ans de studio et de (re)création de près de 20 titres, élaborés, retouchés, affinés, ce sont 13 chansons qui composent cet album qui se veut une étape supplémentaire dans le parcours commencé il y a quelques années.
Avec la participation du Bagad alsacien Kiz Avel, certains titres reviennent aux sonorités celtiques et à l’âme rivée en Bretagne.
Vidéo-clip : Tu t'éloignes
Vidéo-clip : Le Gage et La muse
Crédits :
- Julien BEAULIEU : Batterie , congas , bongos , glockenspiel , timbales , cloche , clochettes , chœurs
- Matthieu GEIGER : Basse , piano , Rhodes , batterie , congas , chant diphonique , chœurs
- Sébastien FERRY : Accordéon diatonique , bouzouki , banjo , neolin , basse de viole , guitare acoustique sur “Le gage et la muse” , pierres sonnantes de Saint-Cast-le-Guildo , flûte sur “Marins de terre” , chœurs
- Vincent ECKERT : Chant , guitares , mandoline , programmation séquences , sirène de mégaphone , tambourin , vibraslap
- BAGAD KIZ AVEL – Strasbourg : Bombardes , cornemuse , grosse caisse
- Hervé ESTNER : Binioù Kozh , bombarde
- Rym BOOS : Violon sur “La gargouille”, “An dro du septième ciel”, “Appareillons”, “La complainte du loup”
- Mathieu PELLETIER : Guitare surf sur “Les mondes barbares”
- Daniel ANSTAETT : Flûte traversière sur “L’étang” et “Somewhere”
- “La complainte du Loup” : Christophe ALZU : Guitare , Gilou UNTERSINGER : Basse , Hélène JEANDEL : Chœurs , François LORIOUX : Piano
- Chœurs sur “L’œil de la sorcière” : Morgane, Romane et Cécile.
Remerciements
Mercis tout particuliers à Sophie, Céline Debes, Julie Henry {pour les relectures véganes…), Stephan Woelfel (pauses photographiques et bienveillantes), Tatiana Chevalier, Pascale Marquis (moucheronnette londonienne…), Annick Stebener (pour les pas d’An dra esquissés), Gilbert et Béatrice {pour nos répétitions, notre base arrière…), Thomas Ress (avec le talent…), Katia Edel (pour la nage virtuelle en eaux chlorées…), Myriam Zeller (pour l’oreille et les translations…), Géraldine Metz (discrète mais efficace…), Alexandrine Martinat, Clément Beylet (pour plein de choses, à venir, à dire et à boire encore…), Marc Teinturier(webmaster of puppets), Guillaume Quéméner, Sandra Huet (redberry nantaise), Nicolas Bourdet, Mauricette Muller, Patricia Mamou, Thierry Carrera..
Merci à vous qui, au fil des années, êtes toujours ici dans quelques ports (fidèles auditeurs, spectateurs assidus ou occasionnels, médias, lieux de diffusion..) mais aussi les muses, les fées, les sirènes.
Hors cadre, hors zone, ce CD n’aurait pu exister, sans vous, amis connus ou à connaître, famille proche ou à quelques encablures, prescripteur{trice)s, découvreurs, explorateur{trice)s, qui avez bien plus que contribué à la campagne de crowdfunding : plus qu’un soutien, vous avez accompagné ces chansons pour les faire vivre. Alors ces textes, ces musiques sont à vous !
Et puis, parce que votre participation m’a littéralement porté, donné cette envie de le finir aussi pour vous, merci aux “co-producteurs” : Brigitte Ferry, Julien Beaulieu, Monique Brandt, Pascale Marquis, Erna Nachbaum, Hervé Estner, Anne Rageot, Béatrice et Gilbert Beaulieu, Simon Woolf, Sophie Berthier, mon père, Pierre et ma mère et Anne-Marie !
Ecouter sur les plateformes de streaming
Presse
« En véritable amoureux des embruns salés, l’auteur-compositeur-interprète insuffle un vent de modernité sur le rock celtique au travers de vingt ballades fougueuses. Avec pour parrains évidents Les Innocents, Louise Attaque ou encore Matmatah, la voltige musicale de ce Strasbourgeois ne se destine en aucun cas à en être une pâle copie. Il se dégage une mélancolie affirmée, sans tomber dans la sinistrose, car pimentée d’un tempo de haut vol. Cet album est tel une navigation à vue où la brume des amours perdus et d’un quotidien morose se lève au fil de sa poésie. Envoûtant, ce projet discographique est une véritable lutte contre la pesanteur de notre monde, telle une bulle sur le point d’exploser. Une véritable dose homéopathique de rock à la française, à écouter sans modération… »
Longueur d’Ondes
« Une faculté à surprendre et enchanter qui l’a mené à ce disque gonflé d’iode et battu par les embruns. Invitation au voyage, Appareillons est un album de la maturité, musicalement très abouti, dont il signe tous les textes et toutes les musiques… Il ne s’agit pas de réduire Appareillons à sa seule dimension celtique. Ce troisième album de Vincent Eckert est d’abord et avant tout un disque de rock. On en retrouve la pulsion primale, l’énergique brutalité, dans un titre comme Nicoclash… »
Dernières Nouvelles d’Alsace
« L’amour de la Bretagne, le goût du travail bien fait frisant le perfectionnisme, la dextérité à jouer avec la langue française, mais surtout l’envie de redonner de la couleur au monde… Tout cela transparaît dans les treize morceaux de son nouvel album. Appareillons, c’est une invitation à l’émerveillement, qui nous berce par une histoire d’amour, de ses prémices à sa fin, en passant par ses grands élans de passion
Strasbourg Magazine