LES ANNÉES VAINES
Les vidéo-clips de l'album
Crédits :
Paroles et musique : Vincent Eckert
Vincent Eckert : Chant / Guitares / Banjo / Mandoline/ Harmonica / Synthés
Matthieu Geiger : Basse / Contrebasse / Batterie / Percus / Chœurs
Julien Beaulieu : Batterie / Percus / Chœurs
Isaka (Isabelle Klein) : Chant / Piano / Accordéon / Psaltérion
Enregistrement : Didier Houbre au Downtown Studios.
Co-réalisation / mixage / mastering : Jean-Sébastien Mazzero au Chemin de l’étang incorporé.
(c) eckerterie musiques
Remerciements
Parce que ces chansons seraient vaines sans vous :
Merci à Mathieu Buchholzer pour les vidéos, Samuel Notaro pour le “web handcraft” et le reste, Mathilde Q. pour la guitare sur le titre qui viendra plus tard, Myriam Z., Marcel P., Stephan W., Nathalie V., Annick S., Clément B., Sandra P., Houaria K., Marie-Pierre M., Sandra H., Myriam A., Thierry C., Sophie aussi. En pensées pour Christophe Alzu…
Merci pour leur soutien à nos proches, nos familles et amis,
Merci à vous qui venez nous voir, nous écouter, nous diffusez, parlez de nous, faites écho et rendez ces chansons vivantes.
A ma mère.
Ecouter sur les plateformes de streaming
Presse & Médias
« Des notes acoustiques, des mots, deux voix. Le disque s’ouvre sur le morceau “Mauvaise pente” et dévoile un duo mascule-féminin intimiste. Une poésie ardente entre rock et musique traditionnelle où les paroles de cet artiste alsacien se mêlent et s’entremêlent. Cet opus est une ode à la fougue mais aussi une invitation au voyage… »
À écouter en priorité : “Le phare”, “Ne plus rien entendre est tout ce qu’il me reste”, “Les escaliers du 18ème”.
Amélie Pérardot
Longueur d’Ondes
Lire l’article complet sur le site de Longueur d’Ondes
« Au fil des mots, Vincent Eckert y rappelle que le rock, ce n’est jamais que la poursuite de la poésie par d’autres moyens….Une chanson qui avance dépouillée, sans arrangements et solos, juste ce qu’il faut pour accompagner une voix que cuivre le cours de la vie…On imagine cependant que, crise sanitaire ou pas, c’est aussi le reflet d’une nouvelle étape dans sa vie d’artiste. Celle d’un homme arrivé à maturité qui peut désormais chanter, comme un lointain écho à François Villon : « Souffle, souffle/Vole, vole/Souffle le vent/S’envolent les amours d’antan… ».
Serge Hartmann
Dernières Nouvelles d’Alsace
Lire l’article sur le site des Dernières Nouvelles d’Alsace
« On dirait un Gainsbourg moderne et rock blues au parfum d’americana lorsqu’on écoute les premiers accords et les premières voix de l’album. Amoureux de la mer et de l’amour, troubadour s’autoproduisant en albums et de bars en festivals, Vincent Eckert nous livre onze chansons empreintes d’une certaine nostalgie du futur, qui réclament “une place dans notre façon contemporaine de vivre et d’aimer”. Une belle écriture et une simplicité poétique qui vous accueille et que l’on reçoit sans heurt. “Ne plus rien entendre est tout ce qui me reste”, chante Vincent, dans un des titres les plus rageurs de cet album au demeurant planant. J’aime cet esprit de chanter en poésie rock (Allo, Charlélie ?), avec accordéon incorporé.».
La Dépêche du midi
« Vincent Eckert revient avec un nouvel album de chansons bercées de guitares aux accents rock, de piano mélancolique et d’accordéon nostalgique au rythme d’une basse profonde…On y entend la poésie de Vincent marquée par la mer, le vent du large, les élans amoureux et les envies d’ailleurs. D’est en ouest, le barde alsacien illumine notre confinement de ses mélodies soignées et de ses textes océaniques. On pense à Murat, Gaétan Roussel et à cette façon “velvetienne” d’harmoniser pop française et country urbaine.».
Thierry Boillot
L’Alsace
Lire l’article complet sur le site de l’Alsace
“Vincent Eckert n’est pas, comme il le chante, sur La mauvaise pente. Avec ces onze nouvelles chansons écrites et enregistrées juste avant le confinement de mars 2020, Eckert prend le chemin de la simplicité pour nous emmener dans son univers. On y croisera ses disques préférés, sa diction douce et des effluves de chanson française.”
Louis Teyssedou
Soul Kitchen
Lire l’article complet sur le site de Soul Kitchen
«…Avec ce nouvel album, Les années vaines, l’artiste a cherché à mettre en place un nouveau cycle pour ses chansons avec des arrangements plus dépouillés et des titres plus courts qui tournent tous autour de trois minutes. L’artiste n’est pas pressé pour autant, ces onze titres cherchent juste à aller à l’essentiel, à dégager chez nous des émotions (et cela fonctionne très bien). Seul ou en duo (comme sur le superbe titre “La mauvaise pente”), ces chansons sonnent juste, dévoilant une belle mélancolie qui ne peut que nous toucher. On y trouve aussi sur d’autres titres une certaine fougue, rappelant que l’artiste est aussi un rocker. C’est d’ailleurs ce qui fait le charme de cet album qui manie à merveille les ballades apaisées et mélancoliques aux titres rock…»
Jean-Louis Zuccolini
Froggy’s Delight
Lire l’article complet sur le site Froggy’s Delight
« … c’est avant toute autre chose un ouvrage très personnel, presque intime, dans lequel Vincent Eckert se livre sans aucune retenue avec à l’arrivée des compositions vraiment réussies comme « La mauvaise pente », « L’estompe », « Canon pour quatre saisons », « Les escaliers du 18ème » ou encore « Le conte à rebours ». Ajoutez-y « Elle entend la mer » et « Au fil de l’air » et vous vous retrouvez avec un album qui joue parfaitement son rôle de témoin d’une époque, sans jamais porter dessus un quelconque jugement de valeur mais en la racontant telle qu’elle est…De la chanson à textes comme on l’aime !»
Fred Delforge
ZICAZIC.COM
Lire l’article complet sur le site Zicazic.com
«Nous n’aimons pas forcément l’univers dans lequel gravite Vincent Eckert, celui que nous qualifierions de chanson française réaliste. Malgré tout, nous partageons ce clip, celui d’Amoureux, parce que c’est un morceau très bien écrit, dégageant une mélancolie nostalgique de bout en bout. Celle-ci se dégage de la musique en teintes mineures, mais également par les paroles, et surtout par cette voix très expressive.
Amoureux nous rend justement amoureux de son identité. Forte, d’une infinie justesse (tendresse également). Ce morceau est d’une beauté rare, à nos yeux, même si dans un style qui nous laisse le plus souvent sur la réserve. Ici, Amoureux nous laisse sur notre faim et nous donne diablement envie d’en découvrir plus sur le travail de Vincent Eckert. Le morceau est extrait de l’album Les années vaines (déjà disponible).
LITZIC
Voir la playlist complète sur le site Litzic.fr